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Nos communes laissent fleurir des lotissements en masse, c'est le boom immobilier dans le Cap, comme un peu partout en France. La création de nouveaux habitats et l'acces à la propriété pour tous sont une bonne chose, mais encore faudrait-il les situer dans leur contexte social et environnemental de manière cohérente.
On ne peut décement plus laisser faire des lotisseurs qui vendent des maisons dont les constructions sont souvent médiocres à tous les niveaux :
- esthétique, énergétique (isolation, chauffage électrique...), durabilité et qualité des matériaux, social. Elles sont plantées comme des champignons de manière anarchique sans aucun soucis de leur rapport à leur environnement et des interactions entre habitants/voisins.
L'habitat doit être réfléchi en amont, avant tout projet ou esquisse sur le papier. Les données essentielles pour une mise en oeuvre cohérente sont les suivantes :
- insertion dans le site, orientation
- étude thermique en fonction du mode de vie et des volumes habités
- utilisation de matériaux sains et renouvelables
- très bonne isolation
- énergie passive par les apports extérieurs
- mise en commun de postes tels que zones de parking, production d'énergie, assainissement
- une architecture tournée vers les rapports humains et sociaux entre les habitats
- intégration d'artisans, liés au projet.
- entre-aide, auto-construction, mise en commun des achats de matériaux, favorisant le lien social et reduisant les coûts.
Je lance un appel à toute personne susceptible d'être intéressée dans de nouveaux projets d'habitation sur le Cap.
Il s'agit de se regrouper pour créer une dynamique cohérente et éviter ainsi que tout le Cap ne devienne une zone "pavillonnaire".
Merci de me laisser un message avec vos coordonnées, vous pouvez aussi me joindre par téléphone.
Olivier G (Mahalon) : 06 71 500 727
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La meilleure solution est de s' impliquer dans les mairies aux prochaines municipales dans les communes. Et apporter du soutien aux agriculteurs car tant qu' il y aura des agriculteurs , les municipalités auront moins de main-mises sur les terrains.
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